Ciné 17 - Genève

Bienvenue au Ciné 17…

"Ciné 17 " rue de la Corraterie, à Genève...

Ciné 17 - Genève

Ciné 17 - Genève


Aller au cinéma, demeure une bonne idée de sortie pour échapper à son quotidien, de faire un « break » et même l’occasion de couper la connexion avec son Smartphone. Le « 7e art », même s’il est fortement concurrencé par le « home cinéma » a encore de beaux jours devant lui, surtout quand la magie opère parce que le film est de qualité, projeté sur un écran au format panoramique, avec des fauteuils en cuir et inclinables, des rangées largement espacées, une vision optimale, un cadre intimiste, un bar avec un vaste choix de boissons avec ou sans alcool et une petite restauration chaude ou froide, un accueil sympathique et professionnel… Mais où trouver un tel cinéma ? Au « Ciné17 », le cinéma de la Corraterie à Genève, une expérience qui ne laisse pas indifférent, cinéphiles et amateurs.
Ciné 17 - Genève

Ciné 17 - Genève


C’est dans cette rue de la Corraterie, au n°14, qu’apparut en 1912, le premier cinéma à Genève sous l’enseigne « Excelsior Cinéma ». L’invention des Frères Lumière en 1895, révérée sous l’appellation « 7e art » y trouve un écrin de choix. En 1937, l’exploitation est transférée au n°17 dans des locaux plus spacieux et rebaptisée en 1965, « Ciné17 » après une modernisation. Aujourd’hui, cet espace culturel emblématique de la place genevoise propose au public les meilleurs films du cinéma mondial.
Ciné 17 - Genève

Ciné 17 - Genève

www.cine17.ch

Hélène Vibourel

Le Grand Théâtre…

Le Grand Théâtre de Genève fait peau neuve...

L'ancêtre du Grand Théâtre

L'ancêtre du Grand Théâtre


Disparu, depuis des lustres l’ancêtre du Grand Théâtre, construit en 1766 à l’entrée du Parc des Bastions, nommé par les habitants « la Grange aux Étrangers », car fort apprécié par les troupes étrangères qui venaient se distraire, en ce lieu. Deux ans plus tard, il fut dévasté par un incendie, intentionnel, dit-on et non à cause du lustre de chandelles de suif, qui servait d’éclairage, sous lequel était placé un plateau de verre pour recevoir les gouttelettes pleuvant sur les spectateurs ! Il fut reconstruit en pierre cette fois-ci en 1783 et pouvait accueillir jusqu’à mille cent spectateurs. Vaudevilles, drames et mélodrames furent joués sur place jusqu’à sa démolition en 1880 pour faire place au Grand théâtre, inspiré du Palais Garnier de Paris, œuvre de l’architecte Jacques-Elysée Goss, construit grâce au don du Duc de Brunswick et inauguré en 1879.
Le Grand Théâtre vers 1904

Le Grand Théâtre vers 1904


Malheureusement, lui aussi brûla en 1951 sur l’air de la Walkyrie ! Il fallut attendre 1962 pour sa réouverture sur un air de Verdi. En février 2016, il fut l’objet d’une rénovation d’envergure permettant de redécouvrir les décors d’origine couverts par le passé et de les mettre en valeur.

Après trois ans de travaux, le Grand Théâtre de Genève, un des principaux théâtres lyriques en Europe est inauguré en février 2019 avec le « Ring des Nibelungen » de Richard Wagner.

Grand Théâtre de Genève©GTG : Fabien Bergerat

Grand Théâtre de Genève©GTG : Fabien Bergerat

https://www.geneveopera.ch/

Hélène Vibourel

Marronnier et HDV©hv

Le marronnier de la Treille…

Sur la promenade de la Treille... à Genève

marronnier de la treille©hv

marronnier de la treille©hv


Eclos, en ce 12 mars 2019, le bourgeon du marronnier officiel "ad interim" de la Promenade de la Treille à Genève. Il a rempli sa mission d’annoncer le printemps. L'an passé, ce fut le 16 mars. A quelques jours près, le printemps tient ses promesses annonciatrices des beaux jours. Ce fut, également, un 16 mars, en 1818 que débuta cette tradition et depuis, trois marronniers ont rempli cette fonction honorifique.
calendrier du marronnier de la Treille

calendrier du marronnier de la Treille


Le petit dernier finira sa mission dans une décennie environ, le temps que le greffon issu de celui datant de 1929 mis à la retraite pour cause de maladie, ait le temps de grandir. La Promenade de la Treille où il fait bon prendre le soleil, sur le banc de 120 mètres, date de 1515. C’est une des plus anciennes de la cité, autrefois couverte de vignes qui grimpaient sur un support, d’où le nom. Sur la place, est érigée la statue de Charles Pictet de Rochemont, connu pour ses talents de diplomate, notamment lors du Traité de Turin, entre la Savoie et la Suisse, signé lui aussi, une coïncidence, un 16 mars 1816.

Hélène Vibourel