vigne municipale Genève©hv

Une vigne au cœur de Genève

Genève, un canton viticole...

A l’abri des regards et du vent, au coeur de la vieille-ville de Genève, il existe un petit lopin de terre consacré à la culture de la vigne.

Un symbole
Le lieu est prestigieux et symbolique car situé d’une part, à côté du Palais Eynard, abritant les bureaux du conseil administratif de Genève et d’autre part, à l’emplacement du tout premier jardin botanique de Genève créé en 1793 par la Société de Physique et d’Histoire Naturelle de Genève. Quelques 200 pieds constituent cette petite vigne municipale plantée en 2019 par le maire de l’époque Sami Kanaan rappelant ainsi la tradition viticole du canton et le lien ville-campagne de Genève. C’est un cépage rouge innovant et résistant aux maladies qui a été retenu, le Divico, conçu à partir d’un croisement de Gamaret et de Bronner.
Une tradition
Cet engouement pour la culture de la vigne ne date pas d’aujourd’hui. Déjà en 1820 dans ce parc des Bastions qui jouxte le Palais Eynard, on pouvait recenser jusqu’à 600 plants de vignes cultivés avec certains cépages qui ont perduré jusqu’à nos jours, comme le Chasselas, la Mondeuse. D’autres cépages portaient des noms plutôt étranges issus du Languedoc, comme le Pique-Poule ou le Bouboulengue connu, ce dernier pour son côté robuste.

Un canton viticole
Depuis des siècles, la vigne est cultivée sur les pentes douces des coteaux genevois. Aujourd’hui avec ses 1 400 hectares de vignes, Genève est le troisième canton viticole de Suisse et peut se targuer de quelques 95 caves proposant toute une série de spécialités de haute qualité allant du Gewürztraminer, au viognier en passant par le Cabernet Sauvignon …

Le saviez-vous ?
Promenade de la Treille
Une route à traverser, quelques marches à gravir et une côte assez raide, vous voilà sur la promenade de la Treille face au Palais Eynard. C’est la plus ancienne promenade de Genève, créée en 1515, date facile à retenir ! Elle tire son nom des espaliers garnis de vignes qui s’y trouvaient à cette époque, compte tenu de sa situation très ensoleillée.
Hélène Vibourel

Genève, un canton viticole...

A l’abri des regards et du vent, au coeur de la vieille-ville de Genève, il existe un petit lopin de terre consacré à la culture de la vigne.

Un symbole
Le lieu est prestigieux et symbolique car situé d’une part, à côté du Palais Eynard, abritant les bureaux du conseil administratif de Genève et d’autre part, à l’emplacement du tout premier jardin botanique de Genève créé en 1793 par la Société de Physique et d’Histoire Naturelle de Genève. Quelques 200 pieds constituent cette petite vigne municipale plantée en 2019 par le maire de l’époque Sami Kanaan rappelant ainsi la tradition viticole du canton et le lien ville-campagne de Genève. C’est un cépage rouge innovant et résistant aux maladies qui a été retenu, le Divico, conçu à partir d’un croisement de Gamaret et de Bronner.
Une tradition
Cet engouement pour la culture de la vigne ne date pas d’aujourd’hui. Déjà en 1820 dans ce parc des Bastions qui jouxte le Palais Eynard, on pouvait recenser jusqu’à 600 plants de vignes cultivés avec certains cépages qui ont perduré jusqu’à nos jours, comme le Chasselas, la Mondeuse. D’autres cépages portaient des noms plutôt étranges issus du Languedoc, comme le Pique-Poule ou le Bouboulengue connu, ce dernier pour son côté robuste.

Un canton viticole
Depuis des siècles, la vigne est cultivée sur les pentes douces des coteaux genevois. Aujourd’hui avec ses 1 400 hectares de vignes, Genève est le troisième canton viticole de Suisse et peut se targuer de quelques 95 caves proposant toute une série de spécialités de haute qualité allant du Gewürztraminer, au viognier en passant par le Cabernet Sauvignon …

Le saviez-vous ?
Promenade de la Treille
Une route à traverser, quelques marches à gravir et une côte assez raide, vous voilà sur la promenade de la Treille face au Palais Eynard. C’est la plus ancienne promenade de Genève, créée en 1515, date facile à retenir ! Elle tire son nom des espaliers garnis de vignes qui s’y trouvaient à cette époque, compte tenu de sa situation très ensoleillée.
Hélène Vibourel

Genève, un canton viticole...

A l’abri des regards et du vent, au coeur de la vieille-ville de Genève, il existe un petit lopin de terre consacré à la culture de la vigne.

Un symbole
Le lieu est prestigieux et symbolique car situé d’une part, à côté du Palais Eynard, abritant les bureaux du conseil administratif de Genève et d’autre part, à l’emplacement du tout premier jardin botanique de Genève créé en 1793 par la Société de Physique et d’Histoire Naturelle de Genève. Quelques 200 pieds constituent cette petite vigne municipale plantée en 2019 par le maire de l’époque Sami Kanaan rappelant ainsi la tradition viticole du canton et le lien ville-campagne de Genève. C’est un cépage rouge innovant et résistant aux maladies qui a été retenu, le Divico, conçu à partir d’un croisement de Gamaret et de Bronner.
Une tradition
Cet engouement pour la culture de la vigne ne date pas d’aujourd’hui. Déjà en 1820 dans ce parc des Bastions qui jouxte le Palais Eynard, on pouvait recenser jusqu’à 600 plants de vignes cultivés avec certains cépages qui ont perduré jusqu’à nos jours, comme le Chasselas, la Mondeuse. D’autres cépages portaient des noms plutôt étranges issus du Languedoc, comme le Pique-Poule ou le Bouboulengue connu, ce dernier pour son côté robuste.

Un canton viticole
Depuis des siècles, la vigne est cultivée sur les pentes douces des coteaux genevois. Aujourd’hui avec ses 1 400 hectares de vignes, Genève est le troisième canton viticole de Suisse et peut se targuer de quelques 95 caves proposant toute une série de spécialités de haute qualité allant du Gewürztraminer, au viognier en passant par le Cabernet Sauvignon …

Le saviez-vous ?
Promenade de la Treille
Une route à traverser, quelques marches à gravir et une côte assez raide, vous voilà sur la promenade de la Treille face au Palais Eynard. C’est la plus ancienne promenade de Genève, créée en 1515, date facile à retenir ! Elle tire son nom des espaliers garnis de vignes qui s’y trouvaient à cette époque, compte tenu de sa situation très ensoleillée.
Hélène Vibourel

Genève, un canton viticole...

A l’abri des regards et du vent, au coeur de la vieille-ville de Genève, il existe un petit lopin de terre consacré à la culture de la vigne.

Un symbole
Le lieu est prestigieux et symbolique car situé d’une part, à côté du Palais Eynard, abritant les bureaux du conseil administratif de Genève et d’autre part, à l’emplacement du tout premier jardin botanique de Genève créé en 1793 par la Société de Physique et d’Histoire Naturelle de Genève. Quelques 200 pieds constituent cette petite vigne municipale plantée en 2019 par le maire de l’époque Sami Kanaan rappelant ainsi la tradition viticole du canton et le lien ville-campagne de Genève. C’est un cépage rouge innovant et résistant aux maladies qui a été retenu, le Divico, conçu à partir d’un croisement de Gamaret et de Bronner.
Une tradition
Cet engouement pour la culture de la vigne ne date pas d’aujourd’hui. Déjà en 1820 dans ce parc des Bastions qui jouxte le Palais Eynard, on pouvait recenser jusqu’à 600 plants de vignes cultivés avec certains cépages qui ont perduré jusqu’à nos jours, comme le Chasselas, la Mondeuse. D’autres cépages portaient des noms plutôt étranges issus du Languedoc, comme le Pique-Poule ou le Bouboulengue connu, ce dernier pour son côté robuste.

Un canton viticole
Depuis des siècles, la vigne est cultivée sur les pentes douces des coteaux genevois. Aujourd’hui avec ses 1 400 hectares de vignes, Genève est le troisième canton viticole de Suisse et peut se targuer de quelques 95 caves proposant toute une série de spécialités de haute qualité allant du Gewürztraminer, au viognier en passant par le Cabernet Sauvignon …

Le saviez-vous ?
Promenade de la Treille
Une route à traverser, quelques marches à gravir et une côte assez raide, vous voilà sur la promenade de la Treille face au Palais Eynard. C’est la plus ancienne promenade de Genève, créée en 1515, date facile à retenir ! Elle tire son nom des espaliers garnis de vignes qui s’y trouvaient à cette époque, compte tenu de sa situation très ensoleillée.
Hélène Vibourel